Trois étapes principales jalonnent un relevé par lasergrammétrie.

Le repérage tout d’abord de l’ensemble de l’édifice à scanner permet d’appréhender le nombre de stations à effectuer, les emplacements potentiels du scanner 3D, le type et le nombre de repère (cibles plates ou sphères) à disposer ; Le choix du matériel et le nombre d’équipement ayant été définit préalablement lors de l’établissement de la proposition technique.

La scannérisation proprement dite ou « relevés laser 3d » occupe ensuite 80 % du temps du projet sur site. L’objectif est d’obtenir des mesures ou « points » sur l’intégralité des équipements visibles et accessibles par laser. Pour cela, l’opérateur multiplie les points de vue de l’appareil comme le ferait un photographe souhaitant documenter l’intégralité d’un site.

De retour chez Urbica, les opérateurs regroupent l’ensemble des stations (assemblage) dans un seul et même nuage de points. Afin de permettre aux outils informatiques de lire ces fichiers sans ralentissement, il est recommandé de pratiquer un filtre sur les points inutiles (segmentation) ou très proches (échantillonnage).